
Cela vous est certainement déjà arrivé.
Que vous soyez pianiste débutant ou avancé.
L’envie de tout abandonner.
Le fameux “à quoi bon… ?”
Qui surgit de nulle part.
Je vous rassure.
C’est normal !
C’est impossible d’apprendre le piano sans traverser des moments de doute.
Généralement ce sentiment de découragement est passager et est lié à la fatigue de la journée.
Et le lendemain, c’est oublié.
Mais parfois, il s’invite plus longtemps.
Et là, cela devient un gros problème.
Car on en vient à se dire que ce n’est pas le bon moment, qu’on est vraiment pas doué, ou bien encore qu’on est trop âgé pour faire du piano.
Alors comment faire pour dépasser ce stade de découragement rapidement et reprendre plaisir à jouer du piano ?
Cet article se veut pratico-pratique.
Donc suivez bien les étapes et vous allez (j’en suis sûre) retrouver l’envie de jouer du piano.
Faites une pause

N’ayez aucun complexe !
Quand on n’en peut plus.
Il faut s’écouter.
Inutile de s’acharner.
Comme lorsqu’on a mal aux doigts ou aux poignets, on arrête de jouer du piano immédiatement !
Sinon, on risque de d’avoir encore plus mal.
Cette pause peut être plus ou moins longue.
Une journée, une semaine ou deux, le temps des vacances par exemple.
Si vous suivez des cours de piano, parlez de votre intention à votre professeur.
Quand vous vous sentez prêt

Remettez-vous au piano.
Et commencez à jouer juste une fois le morceau qui posait problème ces dernières semaines.
Celui qui vous a fait déclaré que c’était fini, que vous n’y croyiez plus…
Reprenez une fois ce morceau et écoutez-vous.
Vous risquez fort d’être surpris.
Car étonnamment, vous allez jouer de façon plus fluide.
Même si bien sûr, vous accrochez toujours aux mêmes endroits.
Ne jouez pas tout de suite une deuxième fois.
Observez

Ce qui a disparu avec la pause
Cela peut être
- la tension dans le corps
- au niveau des mâchoires, des épaules
- au niveau des mains, des poignets, des bras
- la pression dans la tête
- vous vous sentez plus libre
- vous êtes libéré des attentes et du stress
Analysez

Vous l’aurez certainement constaté, vous vous sentez plus détendu.
Physiquement et intellectuellement.
Comme s’il n’y avait plus de résistance en vous.
Vous avez lâché les armes, vous êtes en paix.
Plus d’attente.
Plus de contraintes.
Plus de découragement.
En effet, quand on prend du recul, on sort de la spirale du stress.
On réalise que le “gros problème” n’était pas aussi important que l’on a pu le croire.
Et qu’il était surtout lié à notre acharnement à vouloir bien faire.
Donnez du sens

Quand un pianiste est face à plein d’informations, il peut se sentir submergé par l’ampleur de la tâche.
La solution consiste à aller dans le détail de la partition, à la décortiquer afin qu’elle révèle tous ses secrets.
Examinez l’extrait de partition juste au-dessus.
Ce sont des exercices techniques basés sur les gammes de do Majeur et de la mineur à jouer au piano.
Moi, à première vue, cela me paraît rébarbatif.
J’ai cette pensée car j’ai fait beaucoup de gammes pendant mes études.
Et vous, quelle est votre réaction première ?
Vous dites-vous de suite :
“Cela me paraît inaccessible !”
Ce qui est vrai si vous venez de commencer le piano.
Mais pas si vous avez au moins 2-3 ans de piano à votre actif.
Êtes-vous capable en observant attentivement la partition de voir la facilité et la logique derrière ces exercices.
Observez les intervalles, la linéarité, les doigtés…
Je suis sûre que vous allez trouver !
Dites-moi en commentaire si vous avez trouvé
Changez d’état d’esprit

Amusez-vous !
Ne vous sentez plus limité par la partition et vos prétendues “capacités” ou “incapacités” .
Osez vous pencher sur les difficultés et éradiquez-les !
Faites-en un défi !
Nos problèmes au piano sont souvent lié au manque de compréhension de la partition et à notre ressenti négatif face à la difficulté.
Ce qui entraîne les tensions et le découragement.
Devenez un solutionneur (ou une solutionneuse) !
Chaque semaine, j’ai des élèves qui viennent en cours et qui me font un bilan des difficultés qu’ils ont rencontrées et des actions qu’ils ont menées pour les contrer.
Souvent avec beaucoup de succès !
Je suis épatée à chaque fois !
Sentez-vous “éclairé”

Vous avez l’impression de faire le maximum.
Pourtant cela ne suffit pas.
Car vous n”arrivez pas à corriger vos erreurs.
Imaginez quelqu’un qui vous observerait dans votre pratique du piano.
Mieux que votre professeur, car il serait toujours là à vos côtés.
Cette personne n’aurait pas plus de connaissances musicales que vous.
Que vous dirait-elle ?
Tu n’arrives pas à jouer ce morceau ?
- Mais c’est normal !! Tu joues beaucoup trop vite et tu ne cesses de t’arrêter
- Joue plus lentement !
Quand tu joues lentement, tu n’entends pas ton morceau ?
- Chante les notes dans un premier temps rapidement pour entendre la mélodie puis de plus en plus lentement.
- Ensuite joue ton morceau lentement
- Tu vas entendre d’une nouvelle façon ton piano
Et si je vous disais que cette voix, vous l’avez en vous !
Ce n’est pas la peine d’embaucher un membre de votre famille pour jouer ce rôle 😉
C’est la voix de la raison.
Votre conscience, tout simplement.
Encore faut-il l’entendre !
Remontez à la source

Pour trouver des solutions à ses problèmes au piano, il faut être capable d’analyser son jeu.
Vous allez me dire : “Oui mais moi, je ne m’en sens pas capable !! Je n’ai ni les connaissances, ni le recul nécessaires.“
Et pourtant…
Sakichi Toyoda, le fondateur de Toyota, afin d’améliorer la productivité de ses salariés, a imaginé un outil d’auto-résolution des problèmes.
La méthode des 5 Pourquoi est née !
C’est une technique simple qui consiste à se poser la question “Pourquoi ?” 5 fois de suite.
La première réponse au premier “Pourquoi ?” mène à une autre question et ainsi de suite…
Cette méthode est très utile dans dans les entreprises mais peut s’adapter à tous les domaines pour trouver la source des problèmes et donc la solution.
Au piano, elle permet d’allumer sa conscience et de trouver des solutions à toutes les difficultés.
Vous allez vite comprendre…
La Fabrique à Questions en action

Problème pour suivre la partition
- Pourquoi je me perds sans cesse dans la partition ?
Parce-que mon regard fait des allers-retours entre le clavier et la partition - Pourquoi mon regard fait des allers-retours entre le clavier et la partition ?
Parce-que j’ai besoin de vérifier tout le temps si mes doigts se placent au bon endroit - Pourquoi j’ai besoin de vérifier tout le temps si mes doigts se placent au bon endroit ?
Parce-que je ne connais pas assez le clavier - Pourquoi je ne connais pas assez le clavier ?
Parce que je n’arrive pas à gérer les écarts entre les notes. - pourquoi je n’arrive pas à gérer les écarts entre les notes ?
Parce que je n’ai pas un toucher sûr.
Solution : je dois développer mon toucher pour pouvoir suivre correctement la partition sans allers-retours entre le clavier et le pupitre et ainsi je ne serai plus perdu. Pour y arriver, la meilleure façon de s’y prendre, c’est de ne plus regarder ses doigts.
J’ai déjà parler de ce problème en détails dans cet article.
Problème pour jouer les notes piquées
- Pourquoi j‘ai du mal avec le staccato ?
Parce-que ce n’est pas confortable - Pourquoi ce n’est pas confortable ?
Parce-que mes doigts tombent de haut et heurtent brutalement les touches - Pourquoi mes doigts tombent de haut et heurtent brutalement les touches ?
Parce-que je pense que c’est le bon geste - Pourquoi je pense que c’est le bon geste ?
Parce qu’on a dû me le dire - Pourquoi on a dû me le dire ?
Je n’en suis plus si sûr, je vais vérifier...
Solution : Au piano, on privilégie toujours la détente et la souplesse. Quand un geste fait mal, cela signifie que l’on fait fausse route…
J’explique ici comment bien jouer des notes staccato.
Posez-vous ces questions et vous verrez, comme par miracle, apparaître des solutions !
Si vous suivez ces étapes, vous allez retrouvez l’envie de jouer du piano et votre découragement ne sera plus qu’un mauvais souvenir.
Faites-vous confiance !
Dites-moi en commentaires si vous vous sentez moins découragé et comment vous faites pour résoudre vos problèmes au piano.
Bonjour,
Le découragement que vous décrivez est effectivement très récurrent pour un pianiste. Et même si je ne joue moins de classique, même en jazz, même en improvisation, je passe souvent par ces moments où ce que je fais me semble particulièrement médiocre et passable, avec cette sensation de ne pas progresser.
La prise de recul est un un bon moyen pour moi : Je laisse d’abord un peu de temps avant de reprendre. Puis je rejoue avec le plus de simplicité possible : plus lentement et plus décortiqué (en classique), moins de notes (en jazz), avec plus de souplesse et de nuances.
Dans ma vie professionnelle je suis formateur en organisation de idées et efficacité professionnelle. Je vois beaucoup de similitude entre vos conseils et l’accompagnement que je fais auprès de mes clients.
Merci pour votre approche très pédagogique de vos newsletter !
Bonjour,
Merci pour votre témoignage ici!
Vous avez raison : on peut se sentir limité et découragé au piano quel que soit son niveau et pas seulement en jouant du classique.
Prendre du recul et se poser les bonnes questions est alors indispensable.
Comme vous le soulignez si bien, les techniques utilisées en organisation professionnelle peuvent s’avérer très intéressantes aussi au piano.
A bientôt
merci Claudine pour vos conseils très utiles oui combien de fois m ai je dis je n y arriverai pas a jouer ce morceau trop difficile pour moi ou plus précisément cet ensemble de mesure par exemple certains systèmes de la lettre a Elise et puis finalement on y arrive en étant totalement focus sur ces difficultés jusqu’ a ce que j ai résolu ces problèmes en fait je ne joue que ces mesures en boucle et j ai un cours d une heure une fois par semaine je peux donc être aider par mon professeur et ca fait la différence voila un grand bravo a vous Claudine pour votre présence a nos cotes vous ne nous oubliez pas !!! et ca fait du bien
Bonjour Bruno,
Merci beaucoup pour votre commentaire.
Je suis ravie de savoir que les conseils que je donne dans mon article vous sont utiles !
C’est vrai que même si le thème de La lettre à Élise est simple, les 2 parties qui suivent comportent des difficultés.
Je suis contente que vous ayez réussi à les surmonter.
Certainement avec l’aide de votre professeur 😉
Bonne continuation et à bientôt
Bonjour Madame
C’est ma prof de piano qui m’avait donné le conseil de vous « suivre » pour faire de la lecture de notes etc … j’ai 75 ans et j’ai repris le piano après 25 ans d’arrêt suite à intervention ratée de mon poignet D et main. J’ai repris (en acceptant un grand retour en arrière) avec passion et cela m’occupe. Le problème est que je viens de rater complètement ma prestation à la répétition du concert des élèves et cela depuis 3 ans soit 3 fois. Je n’arrive pas à dépasser ce trac qui me paralyse, alors qu’en cours je joue plutôt bien et encore mieux chez moi. Je suis découragée mais à mon âge cette activité qui me passionne occupe mon temps de loisirs et est indispensable à mon équilibre. Que pensez vous de ce problème, qui heureusement n’est pas une catastrophe. Merci Madame.
Votre article est instructif. Nicole
Bonjour Nicole,
Merci pour votre commentaire ici.
Je comprends que vous soyez découragée par votre trac paralysant.
Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule dans ce cas 🙂
En fait, le souci quand on a le trac, c’est qu’on ne peut s’empêcher d’avoir des pensées qui nous donnent envie de fuir comme si on était en danger.
Il est difficile d’agir sur les pensées. Même si notre conscience nous dit qu’elles ne sont pas le reflet de la réalité, que nous sommes en sécurité.
Par contre, on peut se préparer à ce que ces pensées activent en nous et supprimer la tension dans le corps que ces pensées génèrent en nous.
Car en fait, c’est surtout ça le problème, toute la tension dans le corps qui nous empêche de bien jouer.
Et s’il n’y a plus de tension dans le corps, le trac va passer.
Je vous conseille d’aller voir ce lien. Cet exercice proposé par une hypnothérapeute de renom dure 10 mn et va vous aider.
Bonjour,
J’ai osé me lancer dans l’apprentissage du Clair de lune de Debussy… c’est très difficile pour moi. J’avance très, très lentement. Il est probable que je ne puisse aller au bout. Je verrai bien. Dès les premières mesures, qui sont relativement faciles par rapport à la suite, je me suis sentie dépassée, avec le sentiment de me trouver face à des difficultés insurmontables. Finalement, ces premières mesures, je les joue. Cette première montagne franchie, je m’attaque à la suivante. Impression de ne même plus pouvoir lire les suites d’accords, de ne pas les comprendre. Blocage total. J’ai mis en œuvre spontanément le conseil que vous donnez : j’ai décortiqué. A la fois ma lecture des notes, et le jeu sur le clavier. Ce n’est pas encore fluide, mais j’ai apprivoisé ces suites d’accords, ils ne me font plus peur, je progresse. La montagne suivante se profile à l’horizon, et celle-là est encore plus impressionnante ! Je risque bien de camper à son pied pendant un temps indéfini ! J’aime le piano. S’il faut beaucoup s’entraîner pour espérer un résultat satisfaisant, cela doit rester agréable. Il m’arrive donc assez souvent de privilégier les partitions que je connais plutôt que de persévérer dans ce qui me pose problème !
Bien cordialement,
Françoise
Bonjour Françoise,
Quel beau témoignage, merci…
Et quel beau défi que de réussir à jouer le Clair de lune de Debussy !
C’est une pièce complexe à la fois dans la technique, dans le rythme, dans l’expression.
Mais quel plaisir comme vous dites d’avancer à son rythme et de gravir chaque “montagne”.
Continuez ainsi, vous êtes sur la bonne voie !
Un grand merci à vous, Claudine ! En ce moment, j’ai le bonheur de m’occuper de mon petit-fils à plein temps… il a 4 ans. Je lui ai offert un petit piano dont le son est acceptable, mais il préfère « jouer » sur mon grand piano, car « il y a plus de notes ». Il essaie de m’imiter bien sûr, et « joue » avec ses deux mains, le dos bien droit (sa posture est bien meilleure que la mienne ????). Récemment, comme j’avais joué devant lui, il a eu l’air découragé en disant « moi, je ne sais pas »… cela m’a troublée, je ne souhaite ni le pousser ni le décourager ! Je joue aussi au foot avec lui et nous rions beaucoup (Debussy attendra) !
Je crains le gros malentendu ! L’apprentissage du piano ne peut démarrer que vers l’âge de 8/9 ans évidemment ! Ce qui me trouble, c’est que mon petit-fils semble avoir perdu l’élan spontané qui le poussait à s’amuser à « jouer du piano » après m’avoir écoutée jouer devant lui… et qu’une sorte de prise de conscience d’une impossibilité pour lui l’empêche désormais de s’amuser à m’imiter… c’est dommage car il faisait plaisir à voir…
Je comprends que le comportement de votre petit-fils vous paraisse surprenant.
J’ai déjà constaté ce comportement chez la petite sœur d’une de mes élèves. Elle venait juste de commencer le piano et quand je lui disais qu’elle allait bientôt pouvoir jouer aussi bien que sa grande sœur, elle me répondait que c’était impossible car sa grande sœur était plus avancée dans la pratique du piano et qu’elle savait beaucoup plus de choses…
Elle avait 6 ans à l’époque et je pense qu’elle avait pris conscience qu’elle était toute petite et que sa grande sœur travaillait beaucoup pour avoir le résultat qu’elle avait.
Peut-être votre petit-fils s’est-il mis en tête que jouer du piano, c’est quelque chose de sérieux et réservé aux plus grands.
Si vous souhaitez qu’il retrouve son élan naturel vers le piano, proposez lui de lui apprendre à jouer au clair de la lune ou des comptines qu’il aime bien afin qu’il est l’impression de s’approprier l’instrument et de créer quelque chose lui aussi.
Merci Claudine, pour votre réponse et le partage de votre expérience avec cette petite fille de 6 ans. Les enfants, même petits, sont lucides ! Voir mon petit-fils perdre l’illusion qu’il « savait» jouer du piano m’a troublée comme si je perdais moi-même une illusion enfantine ! S’il a perdu cette illusion première, à moi de lui faire retrouver le goût et l’enthousiasme d’apprendre ! Rien ne presse, nous avons tout le temps !
Bonjour Claudine,
C’est toujours un plaisir de retrouver tous vos conseils et astuces. C’est fait avec finesse, pédagogie et humour. Ce sont de bons ingrédients (pour moi!) pour avancer dans ma pratique de piano. Je m’y retrouve bien.
Je me suis aventurée, comme Françoise, au clair de lune de Debussy ! J’étais flattée et heureuse de réussir le début. Mais ensuite j’ai vite compris que j’ai surestimé mon niveau.
Mais cela n’est pas grave finalement, même si je malmène le morceau ????(que Debussy me pardonne !) je trouve que ça me fait progresser quand même. Surtout quand je joue une partition plus simple.
Je me décourage aussi lorsque je ne vois pas ce qui me serait utile pour progresser. Sans doute le fait de vouloir aller trop vite.
Merci à vous, cela est très réconfortant.
Bonjour Fatiha,
Merci beaucoup pour votre commentaire 🙂
Rassurez-vous Debussy ne vous en voudra pas si vous “malmenez” son Clair de lune !!
Je pense qu’il doit être habitué et honoré qu’on le joue encore au 21éme siècle !
Je me souviens qu’à mes débuts au piano, au siècle dernier, je voulais jouer tous les morceaux que j’entendais.
Je pense que c’est cette “faim” qui nourrit le feu sacré de la passion et surtout qui permet, en se confrontant à des difficultés, de progresser plus vite…
Vous le dites d’ailleurs vous-même, les autres morceaux en comparaison paraissent plus simples, donc continuez tant que cela vous fait plaisir !
A très bientôt
Merci, Merci et encore Merci Claudine, c´est just ce dont j´avais besoin.
Je pars en voyage de trois jours et au retour je recomence.
J´espère que vous allez bien, vous meritez toute notre reconaissance et vôtre enseignement est vraiment merveilleux.
Merci à vous Pilar pour votre message ici.
Cela me fait chaud au cœur.
A très bientôt !
Merci beaucoup Claudine d’avoir pris le temps de développer ce commentaire sur le découragement des apprentis pianistes ! Je l’ai lu deux fois à 2 semaines d’intervalle. C’est très instructif, motivant et toujours pertinent. Je vais partir en vacances avec ma petite fille pendant une semaine. Donc pas de piano. (C’est amusant car en même temps, je suis accro !!! ne pas jouer pendant une semaine me parait difficile !!!). Merci encore. Je suis très touchée !
Merci Martine !
Je suis ravie de vous lire et d’entendre que vous êtes maintenant “accro” au piano.
Les vacances vont vous faire du bien.
Et vous verrez : après c’est un bonheur de se remettre au piano et de constater toute la détente générée par cette pause !
Il faut s’écouter et se laisser aller.
Au piano, c’est comme dans la vie, il faut se faire plaisir pour avoir envie de continuer.
Bonnes vacances Martine et à bientôt !
Quel bonheur de vous lire ! J’essaie en ce moment de ne plus regarder mon clavier ou le moins possible… et je me rends compte que c’est un grand confort quand je joue ! c’est incroyable… Merci
Vous avez raison !
Ne plus regarder son clavier permet d’éviter les allers-retours des yeux entre le bas (les touches) et le haut (la partition), et comme vous dites, c’est beaucoup plus confortable !
Cela vous permet aussi d’anticiper mieux la lecture des notes et d’améliorer votre expressivité et votre jeu au piano.
Que du bonus !
Continuez et à bientôt